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Histoires de Succès

André Yves FéFé

André Yves FéFé (à droite), en Belgique, aux cotés d'Actionnaires d'ACME SA, à l'occasion du 20ème anniversaire d'INCOFIN

André Yves FéFé travaille dans le secteur de la vente de pièces d’automobile en détails depuis 1998.  Il est le propriétaire de l’entreprise dénommée « FELO AUTO PARTS ». Au début, ce n’était qu’une toute petite entreprise qui ne générait pas de revenus significatifs.  Pour acquérir de nouvelles pièces, M. FéFé devait faire un long trajet vers la République Dominicaine.

En 2004, sur les conseils de quelques amis, il a lancé une procédure de prêt sans trop y croire, sachant que les institutions financières ne prêtent pas à tout le monde.  Mais quelques jours plus tard, il reçut la visite d’un Officier de Crédit d’ACME qui a évalué son dossier.

André Yves a ainsi décroché son premier prêt, d’un montant de 75,000 gourdes.  Ce financement d’ACME SA, selon M. Féfé, lui a permis d’augmenter son stock de marchandises afin de desservir un plus grand volume de clients. « Depuis, je ne cesse de développer mon activité et d’approfondir mon expérience avec ACME SA » a-t-il déclaré.  « Aujourd’hui, j’en suis à mon vingt-quatrième prêt. Je vends des pièces d’automobile à des propriétaires de véhicules mais aussi à des détaillants de la capitale et des villes de province » a-t-il ajouté.

Selon M. Féfé, les prêts octroyés par ACME SA lui ont permis d’avoir une vie plus stable, de vivre décemment et de subvenir aux besoins de sa famille. « Mon activité gagne en importance avec le support d’ACME SA et avec l’aide de Dieu »   s’est-il réjoui. Aussi souhaite-t-il continuer à respecter ses engagements envers l’Institution de Microfinance, afin d’obtenir d’autres prêts pour agrandir davantage son entreprise.

Féfé a été le client d’ACME invité à accompagner le Directeur Général à la cérémonie marquant le 20ème anniversaire d’INCOFIN, en Belgique. Il a profité de cette occasion pour remercier publiquement les responsables d’ACME SA de leur support et de leurs conseils financiers.

Marie Gracianne Jean-François

Marie Gracianne Jean-François (en avant), honorée par le Conseil d'Administration d'ACME SA, pour les 20 ans de l'institution

Créée avec un petit commerce de sous-vêtements, l’entreprise de Marie Gracianne Jean-François se trouvait au centre-ville de Port-au-Prince, la Capitale d’Haïti. Cette commerçante du secteur informel peinait à faire fructifier son entreprise en raison de son faible niveau de capitalisation. Les difficultés d’accès au crédit lui avaient enlevé tout espoir d’agrandir son commerce.

Sa rencontre avec ACME va changer complètement le cours de sa vie. Marie Gracianne n’avait pas imaginé qu’elle allait passer plus de vingt ans de sa vie d’entrepreneure avec une institution de microfinance comme partenaire financier.

Cliente d’ACME depuis 1997, Marie Gracianne a rejoint l’institution financière peu de temps après l’ouverture du siège social, à Bois Patate, aussi première agence. Elle a obtenu son premier prêt au mois de septembre pour investir dans son commerce de sous-vêtements. Domiciliée à Carrefour, au sud de la Capitale, Marie Gracianne parcourait souvent le trajet reliant Carrefour à Turgeau pour pouvoir s’offrir les services d’ACME avant que l’institution n’aille implanter sa deuxième agence à Côte-Plage 26, trois ans plus tard.

Grâce aux crédits d’ACME, Madame Jean-François a ouvert un atelier de production de chandelles au milieu des années 2000. Se trouvant confrontée à un manque accru de matières premières, elle a dû fermer l’atelier quelques années plus tard pour revenir à ses activités commerciales d’avant. Et depuis 2007, elle s’y adonne dans sa zone à Carrefour.

Le premier prêt qui a lui a été octroyé, était de 6,000 gourdes. Elle a su construire son historique de crédit jusqu’à obtenir des prêts avoisinant les 500,000 gourdes, ce qui lui a permis de bâtir sa maison et de faire l’éducation de son fils unique, aujourd’hui pharmacien.

Pierre Mary Morisseau

Morisseau a ouvert une entreprise spécialisée dans la vente de pièces d’automobile en 2002, à partir d’un investissement personnel de 6,583 dollars américains. En 2003, dans l’optique d’agrandir son entreprise et d’augmenter son fonds de roulement, il a voulu mobiliser d’autres ressources financières, ce qui l’a poussé à effectuer un prêt de 1,190.47 dollars américain à ACME SA.

L’entreprise de M. Morisseau a progressé à un rythme vertigineux, à un point tel qu’il a obtenu, à date, 17 prêts d’ACME SA.  Actuellement, son entreprise compte plus de six employés et M. Morisseau peut se permettre de faire des prêts allant au-delà de 30,000 dollars américains.

Morisseau est un rude travailleur. Il a débuté comme vendeur avec un salaire mensuel 37,5 dollars américains. Tout en tirant des leçons positives de cette première expérience, M. Morisseau avait décidé de réaliser son rêve qui n’était autre que celui de devenir son propre patron et de réussir dans le milieu des affaires. Aujourd’hui, il se sent très fier de tous les efforts qu’il a déployés pour concrétiser ce rêve.

Avec les revenus générés par son entreprise, M. Morisseau a financé la construction de sa maison et vit décemment avec sa famille.

Robert Aristil

Robert Aristil est originaire de Kenscoff, plus précisément de la section communale de Robin. M. Aristil qui a 40 années d’expérience dans le secteur agricole, est spécialisé dans la culture de pomme de terre, de carotte, de laitue, de chou, de poireau et d’arachnide. Il a encore en tête les mauvais souvenirs de certaines campagnes agricoles. Il explique qu’avant le soutien financier d’ACME SA, sa situation était précaire. Il peinait à réaliser une récolte passablement bonne, par manque de moyens financiers pour se procurer de bonnes semences et des engrais, pour labourer son champ. Une situation qui allait être aggravée par la mévente que connaissaient les produits agricoles sur le marché local, vu les conditions socio-économiques désastreuses de la population.

Aristil est bénéficiaire du crédit agricole d’ACME SA depuis 2012. Il a souligné, en des termes élogieux, l’impact positif du prêt octroyé par ACME SA sur la rentabilité de son champ. « De nos jours, je suis en mesure d’acheter des engrais et des semences plus facilement afin d’augmenter ma récolte. Je peux vous confier que ce prêt m’incite à travailler davantage, d’autant plus que je suis convaincu que désormais ma récolte ne sera pas médiocre par faute d’engrais et de moyens financiers » a-t-il expliqué avant de conclure : « Ce qui me permet, entre autres, de prendre soins de mes enfants, de financer leur éducation et d’améliorer leurs conditions de vie ».

Magdala Philomé raconte ses expériences avec ACME